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Guide des difficultés de rédaction en musique (GDRM)

Citations, exemples musicaux, notes, bibliographies, tableaux, etc. > Tableaux

La présente page propose des moyens permettant de faciliter la préparation et la présentation des tableaux, soit des grilles composées d'un nombre variable de lignes et de colonnes (au moins deux) servant à présenter d'une manière ordonnée et facilement compréhensible une grande quantité de données ayant un lien logique entre elles.

On devrait faire appel à un tableau à chaque fois que la compréhension du sujet peut s'en trouver accrue ou que la quantité de données et leur complexité exigent une présentation claire et compacte qui évitent d'alourdir le texte. Les tableaux sont aussi une aide précieuse dans l'élaboration d'une recherche puisqu'ils permettent de donner un sens à une documentation complexe et au départ souvent déroutante et d'identifier des constantes. Un tableau ne se suffit pas à lui-même et ne doit jamais être « plaqué » sans explications, ce qui revient à laisser les autres faire son travail. Il faut en présenter le contenu et en tirer les conclusions dans le texte.

Il faut éviter d'utiliser un tableau lorsque le contenu des colonnes ne se limite pas à des chiffres ou à des éléments de texte brefs. Si une colonne, souvent la dernière, consiste en explications qui peuvent prendre plus d'une ligne (et à plus forte raison un paragraphe), il est probable qu'il ne s'agisse pas de la présentation la plus appropriée. À plus forte raison, si le contenu d'un tableau peut être présenté en quelques lignes, on doit préférer une présentation dans le texte.

Pour un traitement très détaillé des tableaux, voir le chapitre « Illustrations and Tables » dans le Chicago Manual of Style, 17e éd., 125-70.

Conception

Liste des variables : Dressez la liste des variables dont il s'agit de rendre compte en les plaçant dans l'ordre le plus logique possible.

Nombre de variables : Évitez de consacrer une colonne à une variable qui ne change pas, p. ex. le nombre de mouvements d'une série d'œuvres si elles sont toutes en quatre mouvements. L'information devrait être fournie dans le texte ou dans une note.

Colonnes ou lignes : Déterminez s'il est plus logique ou plus avantageux de placer les variables dans les colonnes ou dans des lignes. En règle générale, les variables en nombre réduit sont présentées dans les colonnes et celles qui peuvent s'étendre à volonté dans les lignes.

Ébauche de grille : Au besoin, préparez sur papier une ébauche de la grille qui contiendra les données en essayant de trouver la solution la plus claire, la plus élégante et la plus efficace. Une planification soignée permettra d'éviter beaucoup de perte de temps.

Explications : Ne laissez jamais un tableau « parler par lui-même » en le « plaquant » entre deux paragraphes. Un tableau ne sert qu'à regrouper des données d'une façon claire et éviter présenter les données à l'intérieur de phrases complètes; il faut soi-même l'annoncer, en décrire les grandes lignes et faire la synthèse des données qu'il contient.

Parties du tableau

Référence et numérotation

Référence à un tableau dans le texte : Chaque tableau doit faire l'objet d'une référence directe dans le texte ou entre parenthèses.

On trouvera au tableau 1 une liste des principaux quatuors à cordes écrits entre 1900 et 1925.
Parmi les quatuors à cordes écrits entre 1900 et 1925 (tableau 1), […]

Numérotation : Chaque tableau doit être numéroté de façon consécutive avec un chiffre arabe en commençant avec 1, et ce, sans utiliser l'abréviation no. Dans le cas d'un ouvrage en plusieurs chapitres, on utilise le numéro du chapitre suivi d'un point (et non d'une virgule, puisqu'il ne s'agit pas d'une décimale) et du numéro du tableau à l'intérieur du chapitre. Si le texte ne contient qu'un seul tableau, on omet la numérotation; le titre suffit puisqu'on voit clairement de quoi il s'agit.

Tableau 1
Tableau 4.2
Tableau no 5

Position et alignement : Le numéro et l'intitulé du tableau sont toujours placés avant celui-ci et alignés à gauche ou centrés. Ils ont avantage à être composés en gras, peut-être aussi dans la police utilisée pour les titres, pour permettre un repérage plus facile. Un tiret cadratin ou un point sépare ces éléments du titre. Le tiret est plus élégant si on adopte la numérotation décimale (p. ex. 4.1), puisqu'il permet d'éviter le voisinage de deux points. On n'ajoute pas de ponctuation à la fin du titre. Le mot tableau et le numéro qui le suit peuvent être en gras pour mieux les faire ressortir (mais pas la description).

Tableau 4.1 — Caractéristiques formelles des sonates pour piano de Franz Schubert
Tableau 4. Caractéristiques formelles des sonates piano de Franz Schubert
Tableau 4.1. Caractéristiques formelles des sonates de Franz Schubert

Titre

Utilisation de substantifs : Un titre doit être formulé à l'aide de substantifs, donc sans faire appel à un verbe conjugué ou à une proposition relative. Il faut aussi éviter les articles en début de titre.

Utilisation de mélodies folkloriques dans le Sacre du printemps de Stravinsky
Les mélodies folkloriques que Stravinsky a utilisées dans le Sacre du printemps

Concision et neutralité : Un titre de tableau doit être descriptif, concis et neutre, mais sans faire état des détails fournis dans le corps du tableau ou donner une idée des conclusions auxquelles il mène. Ces éléments trouveront leur place dans le texte.

Relations tonales dans le troisième mouvement
Prédominance des relations de tierces dans le troisième mouvement

Majuscules : Le titres doit n'utiliser les majuscules que pour le premier mot et les autres qui prennent obligatoirement la majuscule, et ce, même si l'ensemble du document adopte les règles traditionnelles.

Utilisation de filets

Solution simple : Pour du traitement de texte de base, la solution la plus facile est d'utiliser la mise en page proposée par le logiciel, soit une grille faisant appel à un filet simple autour et à l'intérieur du tableau. Les réglages par défaut sont souvent loin d'être les meilleurs pour une typographie raffinée. Évitez les filets doubles à l'extérieur (et encore plus à l'intérieur), qui alourdissent la présentation sans présenter le moindre avantage.

Présentation raffinée : Pour une présentation en accord avec les pratiques des meilleurs éditeurs, simplifiez l'apparence du tableau en ne conservant qu'une ligne au-dessus et au-dessous des têtes des colonnes ainsi qu'au-dessous du tableau. L'alignement des données est généralement suffisant pour permettre une lecture facile. Les logiciels de traitement de texte permettent d'appliquer ce format (qui n'est pas utilisé dans les exemples ci-dessous).

Têtes de colonnes et de lignes

Taille des caractères : Dans la mesure du possible, utilisez pour les têtes de colonnes et de lignes la même taille que pour le corps du tableau. Dans le cas de séries de colonnes très étroites contenant des chiffres, il peut être nécessaire de placer les titres à la verticale, de bas en haut, de façon à pouvoir les lire en tournant la feuille d'un quart de tour vers la droite.

Attributs et centrage : Composez les têtes des colonnes en italique (plutôt qu'en gras, qui est l'option par défaut dans le langage HTML). Centrez-les horizontalement et, si les têtes font plus d'une ligne, verticalement à l'intérieur de la cellule. Le centrage permet de créer un contraste entre les têtes et le contenu des colonnes qui, lui, est le plus souvent aligné à gauche. Cette disposition, en plus de permettre de mieux « englober » la colonne, évite de confondre une tête de colonne avec le contenu de la rangée qui la suit.

Note : Le GDRM, dans les pages autres que celle-ci, utilise une présentation légèrement différente et mieux adaptée à une page Web.

Unité syntaxique : Les mots ou groupes de mots utilisés dans les têtes de colonnes doivent tous appartenir à la même catégorie grammaticale ou lexicale.

Salles de concerts, Maisons d'opéras
Concerts, Maisons d'opéras

Cellules vides et valeurs nulles

Utilisez un tiret cadratin () si aucun élément n'est requis pour une cellule donnée de manière à éviter de suggérer qu'il s'agit d'un oubli, et le chiffre zéro (0) si une quantité est nulle.

Alignement des données

Texte, dates et nombres ne faisant pas l'objet de calculs : Le contenu d'un tableau devrait être aligné à gauche et en aucun cas centré, ce qui contribue à créer un flou visuel et à produire une apparence molle et peu dynamique. Le texte ne doit pas non plus être justifié, ce qui conduirait à un espacement inélégant, voire exagéré, des mots à l'intérieur des colonnes, surtout les plus étroites.

Nombres pouvant faire l'objet de calculs (addition, pourcentage, moyenne) : Les colonnes contenant des nombres faisant ou pouvant faire l'objet d'une opération mathématique doivent être alignés à droite sur le point ou la virgule décimale.

Indication du nombre d'éléments : La colonne contenant le nombre d'éléments est appelée N et non No, qui est l'abréviation de numéro.

Notes

Notes non numérotées et numérotées : Les notes non numérotées s'appliquent à l'ensemble du tableau et sont identifiées par les mentions Source : ou Note :. Une note donnant la source des données doit apparaître avant une note contenant une explication. Une note explicative peut faire état de la façon dont les données ont été recueillies ou indiquer qu'un total ne donne pas 100 à cause de l'arrondissement. Les notes numérotées s'appliquent à une partie du tableau, p. ex. pour expliquer une particularité ou un problème relatif à une donnée précise.

Position et numérotation : Les notes d'un tableau sont indépendantes des notes du texte. Elles se placent directement en bas du tableau et non en bas de page. On les identifie par des lettres minuscules en exposant de manière à éviter la confusion avec les données numériques du tableau. Il est préférable d'éviter un appel de note dans la partie d'identification (numéro et intitulé du tableau).

Taille : Les notes se composent dans un corps plus petit. Si le tableau est composé dans un corps plus petit que le texte principal, utilisez le même rapport qu'entre le texte et les notes, p. ex. 80 % de la police utilisée.

Position et dimensions

Lien avec la première référence : Un tableau devrait apparaître au premier endroit logique après la première référence qui y est faite, habituellement à la suite du paragraphe qui la contient. Il n'est pas souhaitable d'insérer un tableau à l'intérieur d'un paragraphe.

Lignes d'espace : Laissez deux lignes blanches avant et après le tableau.

Marges : Un tableau peut avoir des marges plus étroites que le texte s'il est centré, mais ne doit jamais dépasser les marges de la page. Cette exigence oblige à bien planifier un tableau pour faire en sorte que toutes les colonnes pourront s'insérer de façon souple et élégante à l'intérieur des marges.

Données abondantes et orientation : Utilisez au besoin le format paysage pour la présentation d'un tableau comprenant beaucoup de données et exigeant plus d'espace sur la page. Dans ce cas, le haut du tableau doit toujours être placé près de la reliure de manière à être visible en tournant la page d'un quart de tour vers la droite; il n'y a alors aucun autre texte sur cette page. Le numéro de page devrait idéalement apparaître au même endroit que sur les autres pages.

Une autre solution, loin d'être idéale, consiste à réduire le corps de la police, car un mélange de tailles à l'intérieur d'un même texte produira un mauvais effet. En Amérique du Nord, on peut utiliser du papier grand format (8½ × 14 po; angl. legal paper) et plier la feuille en prenant les précautions requises pour que les agrafes ou la reliure ne fassent pas obstacle au dépliage. Cette technique rend toutefois la reproduction plus complexe et ne devrait être utilisée qu'en cas d'absolue nécessité.

Concevoir un tableau bien fait consiste à trouver la façon de présenter les données sans avoir à recourir à des solutions particulières pour quelques-uns des tableaux d'un même document. L'uniformité est toujours préférable. Arriver à une solution idéale est souvent loin d'être facile.

Nombre réduit de colonnes : Il est possible de ne donner aux colonnes que la largeur suffisante pour présenter les données clairement et de centrer le tableau. Dans ce cas, le bloc contenant l'intitulé (p. ex. Tableau 1 — Relations tonales dans le troisième mouvement) devrait posséder la même largeur que le tableau. Comme cette présentation peut être plus difficile à réaliser, il est souvent préférable de disposer le tableau de façon à ce qu'il occupe la largeur de la page. Il ne sera alors pas nécessaire de le modifier si l'on doit y ajouter d'autres données.

Tableaux longs : Un tableau qui se poursuit sur une ou plusieurs pages supplémentaires doit répéter les têtes de colonnes, appelées lignes d'en-tête dans Microsoft Word. Les logiciels de traitement de texte permettent de répéter automatiquement une ou plusieurs lignes au haut de chaque page (angl. header rows). Faites ce réglage de façon systématique pour tous les tableaux de façon à ce que la mise en page s'ajuste d'elle-même dès qu'un tableau empiète sur une deuxième page.

Langue

Qualité de la langue : La qualité de la langue et la clarté des énoncés sont des éléments aussi importants dans un tableau que dans le texte. Apportez le soin nécessaire à l'uniformité de la présentation et de l'expression. La présentation schématique sous forme de tableau ne doit pas ouvrir la porte aux raccourcis linguistiques.

Majuscules : Limitez les majuscules aux cas où la langue l'exige.

Abréviations : Utilisez le moins d'abréviations possible; le cas échéant, assurez-vous qu'elles correspondent aux règles. Servez-vous des mêmes abréviations tout au long d'un tableau et dans tous les tableaux d'un même texte.

Ponctuation : Ne mettez aucune ponctuation à la fin des éléments de contenu à moins qu'il ne s'agisse de phrases complètes. Deux éléments distincts séparés par une ponctuation interne comme un point-virgule ou un point justifient toutefois une ponctuation finale.

Cadence de 48 mesures {absence de ponctuation}
Voyage de trois mois en Angleterre, suivi d'un bref séjour en France {absence de ponctuation}
Modulation à la dominante; section confiée aux cuivres. {ponctuation}
Les trois mouvements se suivent sans interruption. {ponctuation}

Dans le cas de mentions d'œuvres suivies de numéros d'opus ou de catalogue et de dates, la ponctuation finale n'est pas nécessaire si on ne trouve que des virgules séparant diverses mentions d'identification essentielles. Elle est à propos si l'on trouve d'autres ponctuations, p. ex. un deux-points précédant un numéro de mouvement ou le titre d'un extrait. Dans le cas le plus simple, la présence d'un ou plusieurs virgules et des parenthèses n'empêche pas de percevoir l'ensemble comme une seule unité.

Franz Liszt, Eine Faust-Symphonie in drei Charakterbildern, S. 108 (1854-1857, 1861) {absence de ponctuation}
Franz Liszt, Eine Faust-Symphonie in drei Charakterbildern, S. 108 (1854-1857, 1861) : 2e mouvement. {ponctuation}

Uniformité stylistique : Comme pour les têtes de colonnes et de lignes, les formulations utilisées pour les données doivent appartenir à la même catégorie syntaxique. On doit donner la conviction que chaque entrée a fait l'objet d'une réflexion à ce sujet. Il faut donc trouver une formulation qui conviendra à toutes les mentions, p. ex. en commençant toutes les phrases d'une colonne par un verbe ou un substantif.

Typographie

Simplicité visuelle : Un tableau doit attirer l'attention sur la substance plutôt que sur la typographie. Évitez donc les raffinements typographiques et graphiques qui ne contribuent pas à la compréhension des données, ce qu'on appelle bruit graphique (angl. chartjunk; terme créé par Edward Tufte dans The Visual Display of Quantative Information [1983]).

Utilisation de couleurs : N'utilisez jamais de couleurs ou de fonds ombragés ou hachurés pour attirer l'attention sur un élément puisque ceux-ci ne peuvent pas être reproduits sans dégradation lorsqu'ils sont photocopiés.

Attributs : À moins d'avoir une raison particulière, n'utilisez pas le soulignage, qui a maintenant une signification précise, soit identifier les liens Internet. Servez-vous du gras, mais avec parcimonie. L'italique peut servir à mettre en valeur certaines données, à condition d'en expliquer l'utilisation dans une note.

Exemples

Les trois exemples suivants, qui utilisent une présentation de base sous forme de grille plutôt qu'une présentation typographique de qualité, illustrent autant de degrés de complexité croissante.

Tableau 1 — Longueur et proportion en pourcentage des parties du « Pezzo giocoso » (2e mouvement) du Concerto pour piano, orchestre et chœur d'hommes, BV 247, de Ferruccio Busoni

Division Mesures N %
Introduction 1-27 27 8,0
Partie principale 28-133 106 31,5
Partie centrale 134-185 52 15,5
Cadence 186-203 18 5,4
Retransition 204-222 19 5,7
Reprise 223-301 79 23,5
Coda 302-336 35 10,4
Total   336 100,0

Source : Marc-André Roberge, « Le Concerto pour piano, orchestre et chœur d'hommes, op. 39 (1904), de Ferruccio Busoni : étude historique et analytique » (mémoire de maîtrise, McGill University, 1981), 92 (tableau 8.1).

 

Tableau 2 — Auditions obligatoires pour le cours MUS-19661 — Histoire de la musique IV [abrégé]

Titre Disque Partition
Contrôle no 1
Arnold Schönberg, Verklärte Nacht, op. 4 11401CD M 1.1 S365 op. 4 I61
Béla Bartók, Concerto pour piano et orchestre no 3, Sz. 119 10267CD M 1.1 B292 C744 no3 B724
Contrôle no 2
Dmitri Chostakovitch, Symphonie n5 en ré mineur, op. 47 12085CD M 1001 S716 op. 47 K14
Charles Ives, Sonate pour piano n2 (« Concord, Mass., 1840-1860 ») : au moins les 1er et 2e mouvements 10207-378CD M 23 I95 no 2 A849
Contrôle no 3
Pierre Boulez, Le marteau sans maître 11259CD M 1613.3 B763 M375 U58
John Adams, Harmonielehre : au moins la 3e partie (« Meister Eckhardt and Quackie ») 10398CD M 1045 A214 H288 A849

Note : Les données des colonnes « CD » et « Partition » font référence à la collection de la Bibliothèque générale de l'Université Laval.

 

Tableau 3 — Évaluation des cours à la Faculté de musique de l'Université Laval (jusqu'en 2002-2003)

Échelons Pourcentage Évaluation du rendement
Lettre Moyenne
cumulative
Premier cycle Deuxième et
troisième cycles
A+
A
A-
4,3
4,0
3,7
97-100 %
93-96 %
90-92%
Excellent (le rendement dépasse de beaucoup le niveau exigé
B+
B
B-
3,3
3,0
2,7
87-89 %
83-86 %
80-82 %
Très bon (le rendement dépasse le niveau satisfaisant)
C+
C
2,3
2,0
77-79 %
73-76 %
Bon (le rendement est satisfaisant) Bon (le rendement est satisfaisant)
C- 1,7 70-72 % Insuffisant — échec (le rendement est insuffisant)
D+
D
1,3
1,0
66-69 %
60-65 %
Passable (le rendement comporte des insuffisances notables
E 0,0 1-59 % Insuffisant — échec (le rendement est nettement insuffisant)
W 0 % Échec pour abandon

Liste de vérification

Il faut toujours réviser un tableau pour s'assurer d'une présentation impeccable, laquelle en dit long sur la rigueur utilisée. On pourra porter une attention particulière aux éléments suivants.

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Date de dernière modification : 2024-01-01
© Marc-André Roberge 2024
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